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L'historiette et son tohu-bohu de mots....8,35

iboujo

Maître Poète
#1
La langue de Molière est riche, est belle mais a son AMBIGUITE
Je vous donne un BAREME, un taux quasi égal de facilités et de difficultés
CACOPHONIE ou en silence, le mot français doit et exprime sa beauté
"Construire des mots" est jeu incalculable, pas de DISETTE dans l'alphabet
Le synonyme est utile EQUIVALENCE, la métaphore peut venger une armée
Pour le poète la métrique est FESTIVAL, l'écrivain va créer de son côté
Va inventer une histoire an pleine nature ou sur le GUERIDON de sa muse éveillée
La page blanche ? une HANTISE , sa présence ? endiguée par une source ravivée
Ils ne se laissent pénétrer par l'INERTIE, ils sont fertiles d'activités
Se souvenant de leur prime JEUNESSE, de cette porcelaine ocrée
Une argile, le KAOLIN, où ils ont commencé à rimailler leur premier sonnet
En boucle comme une LITANIE, ils se la récitaient, l'émotion pleurait du nez
La saison importe peu, té chaud ou automne MAUSSADE, les vers ravivés
Sur leurs pages gagnaient leur coeur, en robe courte au WC NAUSEABOND de mémé
C'était moi, réfugiée clandestine des toilettes OBSOLETES de mes grands-parents aimés
Reine ne PITRERIES , je déclamais, eux s'eclaffaient de leur bouche ridée
Ils aimaient écouter, et même sous leurs QUOLIBETS, je me montrais pleine de fierté
J'avoue que mes insistances faisaient RANGAINE, ils en redemandaient , j étais bissée
STATUAIRE de leur joie, Dieu m'en souvienne, ils revivaient, je les ai épaulé
En cette fin de vie, faite de TRIBULATIONS malheureuses ou de liesses éprouvées
Un peu perdus devant un URBANISME qui se développait envahissant leur jardinet
Ils ressentaient cette voix de garage , ce VESTIAIRE, et pour le stimuler, montée
Sur des piles à cent mille WATTS, je gesticulais des lèvres des fables de poupée
XENOS, le baigneur, amoureux de Pénémalpropre, une histoire à dormir debout, un soir de nuitée
Ma grand-mère ferma les YEUX , mes poémes à la main, le sort s'acharnait sur papounet
Un ZONA lui brûlait le poumon, sa résistance était faible telle une flamme vacillante ailée....!!
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#3
je me suis pas Brésilien et je reconnais que ton écrit valait de l'or,
je ne siffle pas, j'aplaudis,
je pense que les juges voient plus la composition du poème et les fautes dans les consignes que le fond du texte.
Pour moi, je fais cela pour participer et surtout pour m'amuser avec les mots.